Les dernières nouvelles de la Compagnie – janv. fév. 2025

Activité intense du côté de Saint-Nazaire, nouveaux récits, etc. On vous dit tout

En guise de carte de voeux, nous vous avions proposé début janvier quelques cogitations farfelues (quoique pas tant que ça) autour du discours du Président aux salariés. Retrouvez ici : une cérémonie millimétrée, tentatives pour faire bref et sans langue de bois, ou pour sous-traiter le discours à une IA. Bref, un exercice pas si anodin que ça. Et pour se remettre de cette orgie numérique, les voeux d’un Président poète, garantis sans IA.

« Un ovni narratif qui nous plonge au cœur de l’humain dans son travail…, et du territoire dans lequel le travailleur se définit. » Ce n’est pas nous qui le disons, c’est Estuaire, le magazine culturel nazairien

Le projet engagé avec le Centre de Culture Populaire – CCP – se poursuit, pour donner à voir, à comprendre et discuter le travail, à mettre en évidence les rapports que le travail entretient avec son environnement géographique, historique, socioculturel.
Après avoir donné la parole à des travailleur·euses de la région de Saint-Nazaire, cité marquée par sa vocation portuaire et industrielle et riche d’une culture ouvrière omniprésente, est venu le temps de restituer ces récits de travail. Outre l’organisation d’une « bibliothèque vivante », avec la médiathèque, quatre lectures publiques ont déjà eu lieu, avec quelques uns des narrateurs et des écrivants. « Oui, c’est bien nous. Merci » ont dit les participants. Deux autres sont programmées les 13 et 18 mars prochain.

Le transport fluvial pourrait être une alternative aux camions. Mais que sait-on du travail de batelier ?
« Tout au long de notre carrière, nous avons transporté des marchandises. Nous avons commencé avec un armateur fluvial pour le fret d’huiles alimentaires brutes, de marque connue. Nous chargions   en Belgique, aux Pays-Bas, ou en Allemagne… C’était très physique, sur la péniche Freycinet.  En fin de déchargement il fallait faire « un retour de jet ». Nous devions accéder au fond de la cuve par une échelle fixe... » Lire la suite du récit de Sophie « J’ai adoré mon métier, Patrick et moi nous l’avions dans la peau ».

Assurer l’entretien quotidien des locaux de la ville de Paris, la gestion du parc automobile, l’achat des tenues de travail des quelque 50.00 agents… telles sont principales missions confiées aux services que dirige Marie-Pierre Auger : Immobilier, logistique et transports de la Ville de Paris.
Lors de sa prise de fonction, elle fait le constat que les personnes qui assurent ces missions essentielles s’avèrent « invisibles » tant pour leurs collègues que pour les Parisiens. Dès lors comment valoriser et encadrer ces agents au statut modeste ?  Lire la suite

Retrouvez, ici, les livraisons précédentes de nos dernières nouvelles


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