
Table des matières
PARTIE I – « Je ne veux que des bonnes nouvelles, docteur ». Dans les couloirs de l’hôpital de jour.
« Oui, c’est bien un cancer » – Anna, médecin généraliste
« Ils sont là, assis au bord de leur chaise » – Fabienne, secrétaire en radiothérapie
« Derrière mon écran, il y a des personnes » – Frédéric, physicien médical
« Tout va bien aujourd’hui… » – Manon, manipulatrice en radiothérapie
« Son épouse voudrait tant qu’il s’alimente » – Benoît, diététicien
« Finalement, elle a pris ses cachets » – Sabine, pharmacienne de ville
« Que vont-ils faire de ce que je leur ai dit ? » – Catherine, oncologue médicale
« Arrivez toujours avec le sourire » – Marie, infirmière en hospitalisation de jour
« Toute la difficulté, c’est de travailler rapidement » – Émilie, pharmacienne hospitalière
« Trouver une aide, maintenant, sans délai » – Marine, assistante sociale
PARTIE II – La vie jusqu’au bout. À l’étage de l’hospitalisation complète
« Il se joue ici quelque chose d’essentiel » – Isabelle, secrétaire médicale dans les unités d’oncologie et d’hospitalisation complète
« Dans sa bulle, elle était bien » – Flavie, aide-soignante en hospitalisation complète
« C’est à la fois très technique et très humain» – Sandra, infirmière alternant entre l’hôpital de jour et l’hospitalisation complète
« Le moment où je passe la tondeuse… » – Catherine, prothésiste capillaire
« Je ne suis pas un robot à faire des soins » – Véronique, aide-soignante en oncologie
« Est-ce que c’est acceptable, tout ça ? » – Isabelle, psychologue au service d’oncologie
« La nuit, c’est aussi le silence » – Laurence, infirmière de nuit
« La vie, c’est jusqu’au dernier souffle » – Camille, médecin en hospitalisation complète
« Rire avec les patients, c ̧a fait beaucoup de bien ! » – Sandrine, agente des services hospitaliers, service oncologie
« Je revendique le fait d’avoir eu un cancer » – Christine, patiente ressource
PS : Si vous êtes arrivés jusqu’ici, vous avez probablement relevé les prénoms des narrateurs : ce sont essentiellement des narratrices. Singularité de Saint-Nazaire ou réalité dans la plupart des services d’oncologie ?